Au coin de ma rue, une zone industrielle se déploie. Il n'y a qu'à suivre les chemins de fer pour découvrir son aspect dépouillé, pour découvrir les usines qui ne dorment jamais et qui ne laissent que quelques traces d'échos mécaniques et odeurs autour d'elles.
Des clichés de repérages qui conduiront à un projet vidéo effectué à l'aide d'une caméra super 8.
Des "no man's land" qui nous laissent étrangers.
Hostilité, fascinatio.
Cette idée de territoire, de frontière se reprend, s'étire, se redimensionne à chaque pas, à chaque courbe qui se dévoile.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire